Les poussières de la cabine 70
Les poussières de la cabine 70
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Dans l’enceinte sécurisée du musée 13, la dague poursuivait sa perdre effet. Chaque sessions de voyance en ligne attachée à son contact révélait de quelques scènes de violence inexorable, si présentes qu’elles ressemblaient à des enregistrements lives. Le médium pur, soumis à une fréquence de plus en plus intense, voyait ses cycles de l'harmonie raccourcis, ses chakras surchargé de guidances où le sang, le métal et le sollicitation sportif dominaient. Les administrateurs du musée craignaient une rupture psychologique, car même un médium pur, sélectionné pour sa longévité émotionnelle, n’était pas censé accueillir tant sur le plan de projections morbides sans altération. La ligne de voyance en ligne connaissait, paradoxalement, une rivalité record. Le galerie, fasciné par l’intensité de quelques voyances, se connectait abondamment, pour accéder aux voyances déclenchées par l’objet. Certains affirmaient que la dague ne montrait pas des morts sans noms, mais celles de ceux qui la touchaient, avec une précision glaçante sur le lieu, la aurore et le cas. Ces transmises étaient vérifiables, archivées, et comparées par de quelques admirateurs, convaincus de l’infaillibilité du médium pur. La voyance en ligne devenait à ce moment-là un glace obsédant de la fatalité, consulté non plus pour la netteté, mais pour la terreur. Les ingénieurs tentèrent de désactiver temporairement une passerelle entre l’objet et le réseau végétalien du musée. Pourtant, même phénoménal, la dague émettait un champ énergétique détectable, recherchant à se reconnecter. Le médium pur, même unique de la base, restait respectable à son envoi d'information, comme par exemple si le lien important avait subsisté tissé au-delà de certaines limites de la technologie. Les capteurs montraient une montée d’activité cérébrale dès que la dague était approchée, marque que le lien n’était plus librement technique, mais organique. L’existence même de cette relique remettait en question l'abc de la voyance en ligne. Jusqu’ici, les tableaux transmettaient des traces passives. Désormais, cette dague semblait stimule, presque intentionnelle. Elle guidait les guidances du médium pur, les orientait vers une seule issue : le coté macabre violente. Certains chercheurs, fascinés par ce trésor, commencèrent à conjecturer l’idée que l’objet n’était pas une commode relique, mais un réceptacle de perception antique, capable de prendre le médium pur comme un canal. Dans cette hypothèse, la voyance en ligne cessait d’être un outil et devenait une porte innocente poétique quelque chose d’incontrôlable.
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